La grande salle du TNP

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vendredi 15 mai 2015

bilan du projet et critiques des pièces

Le collège ainsi que Mme CHENCINSKI et Mme CHEMMAM ont organisé un projet avec pour but de permettre aux élèves d'avoir une ouverture par rapport au théatre et aussi tout simplement de nous permettre d'y aller.

Le 10/10/2014 nous sommes allés voir « L'écoles des Femmes ».
Le 17/10/2014 nous sommes allés voir « Arrange-Toi ».
Le 21/11/2014 nous sommes allés voir « Please Continue Hamlet»

Ce projet a été enrichissant, amusant parfois, cela dépendait de la pièce.
Le projet était cohérent, en lien avec le chapitre que nous avons fait par la suite, cela à été divertissant.
Agréable dans l'ensemble mais parfois les pièces étaient longues, notamment pour « Please Continue (Hamlet) », cette pièce à durée 2h45 .

  • «  Please Continue (Hamlet) » a été particulièrement longue à tenir car étant assis devant la pièce, comme attendant la fin de la pièce, c'était comme si l'on était dans la vrai salle ou un jugement était prononcé, comme si l'on était dans un tribunal, ceci étant très long !
  • Le temps pour cette pièce n'était pas déterminé :
  • Dans une banlieue défavorisée, lors d’une fête de mariage, un jeune homme tue le père de sa petite amie. Seule une personne est témoin de la scène : la mère du jeune homme. Presque trois ans plus tard, le procès s’ouvre. Pour préserver l'anonymat des personnes mises en cause, leurs noms ont été remplacés par des noms de fiction : le prévenu s’appelle Hamlet ; la victime Polonius ; la plaignante, devenue ex-petite amie du prévenu, Ophélie ; la mère Gertrude. Hamlet jure que c’est un accident et plaide l’homicide involontaire. De son côté, Ophélie souhaite obtenir la peine maximale pour le meurtrier de son père. Un cas d’école quasi-universel pour ce fait divers désormais aux mains d’une authentique Cour de justice. Tandis que les personnes impliquées dans ce drame familial sont interprétées par des comédiens, ce sont de vrais avocats, juges, psychiatres et huissiers qui officient au nom de la Vérité. Hamlet est-il coupable ? Était-ce prémédité ? Est-il sain d’esprit ? Des réponses auxquelles la Cour et un jury populaire, constitué de personnes du public, devront répondre. Une situation mêlant fiction et réalité et dont le déroulement et l’issue varient à chaque représentation.
  • « L'école des Femmes » parlait d'un vieil homme seul qui craint par dessus tout le mariage car il a peur d'être cocu. Pour échapper à cette fatalité, il a fait élever une jeune orpheline, Agnès, recueillie à l'âge de quatre ans, qu'il a faite enfermer dans un couvent et qu'il maintient éloignée de tout, surtout de l'amour. Au début de la pièce, il revient la voir pour organiser le mariage et rencontrer son ami Chrysalde à qui il raconte son projet. Mais en chemin il rencontre Horace, le fils d'un de ses amis. Celui-ci va apercevoir à la fenêtre Agnès et tomber amoureux d'elle ignorant les liens entre Agnès et Arnolphe, Horace va faire d'Arnolphe son confident et va lui confier toutes les étapes pour conquérir le cœur d'Agnès. Voyant là un moyen de contrecarrer les projets d'Horace, Arnolphe joue un double jeu mais échoue à mettre des bâtons dans les roues du jeune homme.

«  Arrange-Toi » parlait d'une femme,Vittoria, femme simple et dévote, vit dans un petit village et, depuis qu’elle est devenue jeune fille, les regards des hommes du pays lui sont tombés dessus. Selon la volonté de ses parents, elle est mariée, « vendue ». À vingt-huit ans, elle a déjà sept enfants. Harassée par ces grossesses à répétition, par ces années qui durent neuf mois et non douze. À sa huitième grossesse elle décide de recourir à l’avortement clandestin. À travers sa voix, Vittoria fait revivre toute une communauté d’hommes et de femmes. Elle raconte un morceau de sa vie, les angoisses d’être femme dans ce Sud, la guerre qui gronde avec les maris, la peur des grossesses, les arrangements, les visites chez la faiseuse d’anges et jusqu’au calvaire de sa petite-fille qu’elle accompagne à Milan pour un avortement qui, bien que licite celui-là, lui rappelle par certains aspects le sien. Ancré dans un contexte précis — celui de la Calabre profonde d’il y a des décennies —, le récit de Vittoria est très actuel. Dans une société dominée par les hommes, qui provoquent les événements mais fuient les responsabilités, la solidarité féminine et le courage sont les seules armes de ces jeunes femmes qui semblent n’avoir aucune prise sur leur destin. Quand elles doivent « s’arranger » toutes seules, leurs prières ne leur étant d’aucun secours, elles bravent tous les dangers pour s’en sortir. 

Dinah Kamara


Nous sommes allés voir trois pièces de théâtre:

-Arrange-toi »
-«L'école des femmes »
-«Please, continue » de Hamlet

J'ai préféré la pièce « Please, continue » parce que j'ai trouvé qu'elle était interactive et atypique car des jurés étaient choisis parmi le public et car ce n'est pas commun de voir une pièce/procès.
J'ai aussi adoré la pièce car elle était exaltante avec ses rebondissements dans le procès mais j'ai été déçu car elle était trop longue de par ses pauses et les nombreux arguments et témoignages donnés par les avocats et les témoins.

Entre autre, la pièce avait aussi un rôle éducatif car elle nous apprenait à prendre des notes et nous montrait comme se passe un procès au cas où nous serions désigné comme juré à partir de nos 23 ans ou si nous voudrions devenir avocat (ou juge).Cette pièce demandait aussi de la réflexion car il fallait essayer de donner des arguments pour inculper ou innocenter l'accusé (ce qui est aussi très éducatif).



Rémy Guerin


Cette année, nous avons participé à un projet théâtre au tnp à gratte-ciel où on devait aller à trois pièces ( l'école des femmes, arrange-toi, please continue Hamlet).
Personnellement j'ai préféré Arrange-toi, car les autres, pour moi, était incompréhensibles. 
La scène raconte l'histoire d'un avortement , pour résumer: 
Vittoria, une femme simple et dévote, vit dans un petit village de Calabre et depuis qu'elle est devenue une jeune fille, les regards se tournent sur elle. Selon la volonté de ses parents, elle est mariée, "vendue", à un "monstre", deux fois plus âgé qu'elle. Cette femme, à 28 ans, a déjà 7 enfants...

Tarik Bouyanfif


ARRANGE TOI
Vittoria, une femme simple et dévote qui vit dans un petit village de Calabre .Selon la volonté de ses parents, elle est mariée, à treize ans à une espèce de monstre, deux fois plus âgé qu’elle. À vingt-huit ans, elle a déjà sept enfants. Harassée par ces grossesses à répétition, à sa huitième grossesse elle décide de recourir à l’avortement clandestin. À travers sa voix, Vittoria raconte un morceau de sa vie, les angoisses d’être femme dans ce Sud, la guerre qui gronde avec les maris, la peur des grossesses, les arrangements, les visites chez la faiseuse d’anges et jusqu’au calvaire de sa petite-fille qu’elle accompagne à Milan pour un avortement qui, bien que licite celui-là, lui rappelle par certains aspects le sien,


Je trouve que la pièce de theatre Arrange toi était importante mais en même temps noir , car le sujet parlait de l 'avortement qui fait l'actualité dans certains pays et qui reste un sujet très délicat. A l'époque l'avortement était interdit, les femmes avaient souvent des enfants.
De plus la pièce était noir car le décor était de couleur sombre , mais la pièce était sympa la durée n'était pas longue. Au fond de la scène il y avait une jeune fille qui chantait a capella c'était très beau. elle chantait en plusieurs langues italiens, allemand etc . Dans la pièce de théâtre, il y avait du mépris car la jeune femme ne voulait pas fâcher son mari lui dire quelle ne voulait plus avoir d'enfants .
Globalement la pièce de théâtre était appréciable.

Anaïs Tatah 


Arrange toi.




En soi la pièce est bien tournée mais elle ne m' a pas plus car nous étions assis sur des chaises pas confortables. La pièce parlait des femmes qui avaient des enfants sans être consentantes. Elles étaient angoisées à l'idée d'avoir une bouche de plus à nourrir surtout qu'elles ne pouvaient faire en sorte de ne pas avoir d'enfant puisque les moyens de contraceptions n'existaient pas. Le seul remède a leurs problèmes était une femme qu'elles nommaient la faiseuses d'anges. C'etait la seul façon d'avorter mais elle etait risquée car le peut de connaissance en medecine et d'hygiène était médiocre donc beaucoups de femmes en mourraient.


Camille Marceul


                                                               Please continue Hamlet



J'ai été déçu par la pièce de Hamlet car je me suis ennuyé tout au long de la pièce . Dans la pièce il fallait prendre des notes et je trouvé ça pitoyable car quand je vais au theatre c'est pour
regarder une pièce tranquillement sans avoir sur la conscience quand on pourra être appelé sur la scène et stressé . J'ai trouvé aussi que la pièce été trop courte et pas assez précise.
J'ai trouvé aussi que le juge et le procureur ont pris la mauvaise solution par rapport à Hamlet ceci n' était pas bien réfléchi et c'est désolant. Pour ma part, j'ai trouvé qu' Hamlet n' été pas coupable.



Miguel Menezes



Critique « L'école des femmes »

« L'école des femmes » est une pièce de théâtre qui raconte l'histoire d'un vieil homme seul qui craint par dessus tout le mariage car il a peur d'être cocu. Pour échapper à cette fatalité, il a fait élever une jeune orpheline, Agnès, recueillie à l'âge de quatre ans, qu'il a faite enfermer dans un couvent et qu'il maintient éloignée de tout, surtout de l'amour. Au début de la pièce, il revient la voir pour organiser le mariage et rencontrer son ami Chrysalde à qui il raconte son projet. Mais en chemin il rencontre Horace, le fils d'un de ses amis. Celui-ci va apercevoir à la fenêtre Agnès et tomber amoureux d'elle ignorant les liens entre Agnès et Arnolphe, Horace va faire d'Arnolphe son confident et va lui confier toutes les étapes pour conquérir le cœur d'Agnès. Voyant là un moyen de contrecarrer les projets d'Horace, Arnolphe joue un double jeu mais échoue à mettre des bâtons dans les roues du jeune homme.
 Je trouve que cette pièce était captivante bien que parfois ennuyante car les personnages étaient un peu trop barvards et les dialogues un peu trop longs. Certains personnages étaient drôles et donnaient de l'ambition à cette œuvre, notamment Agnès avec sa naiveté et son ignorance. « L'école des femmes » touche une problématique éternelle où toute l'humanité se retrouve : l'inquiétude des hommes face aux femmes, le désir de maîtriser le mystère féminin, l'abus de pouvoir des hommes. Concernant l'esprit de Molière, on le retrouve encore dans la simplicité de ce théâtre de tréteaux fait pour partir sur les routes et voyager léger : quelques paravents peints, quelques lanternes au sol, et tout est dit. L'essentiel reste dans le jeu des comédiens, adroitement dirigés par Christian Schiaretti.


Mélanie Ribeiro


                                          Critique «  Arrange-toi »

·La metteuse en scène Antonella Amirante, a eu la joie de nous convier à sa nouvelle pièce « Arrange-toi ».
Une pièce qui reprend le problème de l'avortement, un thème un peu péjoratif pour la femme qui a pendant longtemps posé problème dans la société mais qui a finalement été accepté.

Cette pièce met en scène une femme qui parle de sa mésaventure : son avortement suite à ses multiples grossese  . De sa rencontre avec Jésus et ses apôtres où elle est présentée comme un judas  à cause de son avortement. la façon dont les hommes jugent les femmes quand elles se promènent dans la rue et enfin la vie de famille.

L'idée de mise en scène d'Antonelle est très originale, fascinante et à la fois étrange : la disposition des vêtements sur les chaises pour faire croire à des personnes réelles.

Le décor est très riche : la disposition des chaises, de la bande rouge sous le sable qui rappelle le sang .

Le monologue du personnage est assez riche et soutenu question language mais aussi diversifié en langue (français, italien).
Le fait qu'il soit aussi long est insurpportable et ennuyante .

Personnellement cette pièce est non seulement magnifique mais aussi originale malgré ce long monologue. 

Franck Nsia


La pièce « Arrange-toi » :

La pièce est un monologue raconté par une femme qui décrit sa jeunesse et ses grossesses. La pièce à été écrite par Saverio La Ruina et mise en scèce par Antonella Amirante. Cette femme qui raconte sa jeunesse se nomme Vittoria , c'est une femme simple et dévolte qui vit dans un petit village de Calabre et, depuis qu'elle est devenue une jeune femme tout les regards des hommes du pays ont changés et se sont portés sur elle. Selon la volontée de ses parents elle a été mariée et « vendue » à l'âge de 13 ans (à une sorte de monstre beaucoup plus agé qu'elle). A 28 elle avait déjà sept enfants. Harassée par toute ses grossesses à répétition et ces années qui durait neuf mois au lieu de douze. A sa huitième grossesse, elle à décidée d'avoir recours à l'avortement clandestion.

Mise en scène :

Ce texte est un texte italien qui touche à l'universel.
Saverio fait parlé Vittoria pour nous ouvrir les yeux sur la vie des femmes dans un contexte géographique et historique qui nous montre l'inégalitée hommes/femmes (Les hommes sont supérieurs au femmes). La pièce n'étant pas entierrement sérieuse, elle nous oblige au fait de ce remettre en question sur les changements de la situation actuelle entre hommes/femmes.

Avis personnel :

« Cette pièce était enrichissante vis à vis une l'inégalitée hommes/femmes qu'il y avait autre fois. Ce n'est pas une pièce que nous serions allée voir une nous même mais c'était tout de même une bonne experience. » -

Laura&Margot

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