Le
collège ainsi que Mme CHENCINSKI et Mme CHEMMAM ont organisé un
projet avec pour but de permettre aux élèves d'avoir une ouverture
par rapport au théatre et aussi tout simplement de nous permettre
d'y aller.
Le
10/10/2014 nous sommes allés voir « L'écoles des Femmes ».
Le
17/10/2014 nous sommes allés voir « Arrange-Toi ».
Le
21/11/2014 nous sommes allés voir « Please Continue
Hamlet»
Ce
projet a été enrichissant, amusant parfois, cela dépendait de la
pièce.
Le
projet était cohérent, en lien avec le chapitre que nous avons fait
par la suite, cela à été divertissant.
Agréable
dans l'ensemble mais parfois les pièces étaient longues, notamment
pour « Please Continue (Hamlet) », cette pièce à durée
2h45 .
- « Please Continue (Hamlet) » a été particulièrement longue à tenir car étant assis devant la pièce, comme attendant la fin de la pièce, c'était comme si l'on était dans la vrai salle ou un jugement était prononcé, comme si l'on était dans un tribunal, ceci étant très long !
- Le temps pour cette pièce n'était pas déterminé :
- Dans une banlieue défavorisée, lors d’une fête de mariage, un jeune homme tue le père de sa petite amie. Seule une personne est témoin de la scène : la mère du jeune homme. Presque trois ans plus tard, le procès s’ouvre. Pour préserver l'anonymat des personnes mises en cause, leurs noms ont été remplacés par des noms de fiction : le prévenu s’appelle Hamlet ; la victime Polonius ; la plaignante, devenue ex-petite amie du prévenu, Ophélie ; la mère Gertrude. Hamlet jure que c’est un accident et plaide l’homicide involontaire. De son côté, Ophélie souhaite obtenir la peine maximale pour le meurtrier de son père. Un cas d’école quasi-universel pour ce fait divers désormais aux mains d’une authentique Cour de justice. Tandis que les personnes impliquées dans ce drame familial sont interprétées par des comédiens, ce sont de vrais avocats, juges, psychiatres et huissiers qui officient au nom de la Vérité. Hamlet est-il coupable ? Était-ce prémédité ? Est-il sain d’esprit ? Des réponses auxquelles la Cour et un jury populaire, constitué de personnes du public, devront répondre. Une situation mêlant fiction et réalité et dont le déroulement et l’issue varient à chaque représentation.
- « L'école des Femmes » parlait d'un vieil homme seul qui craint par dessus tout le mariage car il a peur d'être cocu. Pour échapper à cette fatalité, il a fait élever une jeune orpheline, Agnès, recueillie à l'âge de quatre ans, qu'il a faite enfermer dans un couvent et qu'il maintient éloignée de tout, surtout de l'amour. Au début de la pièce, il revient la voir pour organiser le mariage et rencontrer son ami Chrysalde à qui il raconte son projet. Mais en chemin il rencontre Horace, le fils d'un de ses amis. Celui-ci va apercevoir à la fenêtre Agnès et tomber amoureux d'elle ignorant les liens entre Agnès et Arnolphe, Horace va faire d'Arnolphe son confident et va lui confier toutes les étapes pour conquérir le cœur d'Agnès. Voyant là un moyen de contrecarrer les projets d'Horace, Arnolphe joue un double jeu mais échoue à mettre des bâtons dans les roues du jeune homme.
«
Arrange-Toi » parlait d'une femme,Vittoria, femme simple et
dévote, vit dans un petit village et, depuis qu’elle est devenue
jeune fille, les regards des hommes du pays lui sont tombés dessus.
Selon la volonté de ses parents, elle est mariée, « vendue ». À
vingt-huit ans, elle a déjà sept enfants. Harassée par ces
grossesses à répétition, par ces années qui durent neuf mois et
non douze. À sa huitième grossesse elle décide de recourir à
l’avortement clandestin. À travers sa voix, Vittoria fait revivre
toute une communauté d’hommes et de femmes. Elle raconte un
morceau de sa vie, les angoisses d’être femme dans ce Sud, la
guerre qui gronde avec les maris, la peur des grossesses, les
arrangements, les visites chez la faiseuse d’anges et jusqu’au
calvaire de sa petite-fille qu’elle accompagne à Milan pour un
avortement qui, bien que licite celui-là, lui rappelle par certains
aspects le sien. Ancré dans un contexte précis — celui de la
Calabre profonde d’il y a des décennies —, le récit de Vittoria
est très actuel. Dans une société dominée par les hommes, qui
provoquent les événements mais fuient les responsabilités, la
solidarité féminine et le courage sont les seules armes de ces
jeunes femmes qui semblent n’avoir aucune prise sur leur destin.
Quand elles doivent « s’arranger » toutes seules, leurs prières
ne leur étant d’aucun secours, elles bravent tous les dangers pour
s’en sortir.
Dinah Kamara
Nous sommes
allés voir trois pièces de théâtre:
-Arrange-toi »
-«L'école
des femmes »
-«Please,
continue » de Hamlet
J'ai préféré
la pièce « Please, continue » parce que j'ai trouvé
qu'elle était interactive et atypique car des jurés étaient
choisis parmi le public et car ce n'est pas commun de voir une
pièce/procès.
J'ai aussi
adoré la pièce car elle était exaltante avec ses rebondissements
dans le procès mais j'ai été déçu car elle était trop longue de
par ses pauses et les nombreux arguments et témoignages donnés par
les avocats et les témoins.
Entre autre, la
pièce avait aussi un rôle éducatif car elle nous apprenait à
prendre des notes et nous montrait comme se passe un procès au cas
où nous serions désigné comme juré à partir de nos 23 ans ou si
nous voudrions devenir avocat (ou juge).Cette pièce demandait aussi
de la réflexion car il fallait essayer de donner des arguments pour
inculper ou innocenter l'accusé (ce qui est aussi très éducatif).